L’agriculture en ville a le vent en poupe, qu’elle soit citoyenne ou professionnelle. Elle n’a pas vocation à nourrir toute la ville, mais sa production est loin d’être négligeable et s’écoule entre autre dans des filières sociales (cuisines de collectivités, CPAS). Multifonctionnelle, elle est une porte d’entrée vers l’insertion sociale, l’éducation ou le soin. Elle est surtout un moteur pour penser la ville de demain, mieux adaptée à la crise climatique, accueillant plus d’arbres et de potagers de quartiers, intégrant l’accès et le partage de plantes comestibles, réintégrant plus de biodiversité dans le tissu urbain. Les pouvoirs publics semblent plutôt apporter leur soutien.
Un résumé de l’entretien de Léna De Brabandere et Francisco Dávila par Malo Lazé, étudiant en master 1 de journalisme à l’ULB dans le cadre de la Matinale du lundi 25/11/24 sur Radio Campus dédiée au Journal de Culture & Démocratie « Nourrir | Se nourrir »